Après le Sénat, les demandes des audios à l’Assemblée
Elle met en avant la revendication de l’UNSAF, en tant que représentant des audioprothésistes, de bénéficier d’un cadre professionnel rénové pour la mise en œuvre du « 100 % santé ».
Elle souligne que seuls 35 % de la population atteinte par ces troubles auditifs sont actuellement appareillés, un taux très inférieur aux voisins européens. « Il apparaît donc nécessaire d’établir des règles de bonnes pratiques opposables afin d’encourager les Français à s’équiper de prothèses auditives », précise-t-elle.
Elle demande également en parallèle que soit menée une réflexion sur la formation des audioprothésistes afin de tenir compte des techniques d’explorations fonctionnelles et de réhabilitation auditive qui ont connu une profonde transformation depuis une vingtaine d’années.
Le ministère n’a pas encore fourni de réponse sur ses intentions sur ce dossier.