Bérengère Hugon, audioprothésiste Sonance dans un petit village

À 45 ans, Bérengère Hugon gère depuis 10 ans un centre du groupement Sonance dans un petit village du Vaucluse. Indépendante, elle propose une approche du métier résolument axée sur le soin plus que sur le commercial.

Par Sylvain labaune, publié le 27 mai 2024

Bérengère Hugon, audioprothésiste Sonance dans un petit village
Originaire de Montpellier, Bérengère Hugon s'est d'abord orientée vers un DUT de chimie après le Bac. Pourtant, alors qu'elle venait tout juste d'obtenir son diplôme, elle a décidé de changer de cap et de se tourner vers le paramédical. D'abord tentée par la kinésithérapie, elle a finalement choisi de devenir audioprothésiste. « Je me suis rendu compte que la chimie n'était pas vraiment ce que je voulais faire », explique-t-elle. Elle a le déclic lors d'un repas de famille : un proche qui gérait un centre d'audition lui parle des avantages de ce métier et, surtout, de la difficulté qu'il avait, à l'époque, à trouver un audioprothésiste. Bérengère s'inscrit dans la foulée pour le cursus de trois ans à l'école d'audioprothésiste de Montpellier, située sur le campus de la faculté de pharmacie. En 2004, une fois son diplôme en poche, elle part à Aix-en-Provence travailler pendant huit mois à la création d'un centre Amplifon,...

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